Trouvé sur facebook : un condensé de mes poèmes ! et le pire : signé  Antoine Chiappetta  
tous droits réservés © 2015
Cliquez sur "beau message" pour ouvrir la page facebook en question.

Beau message

Je souffre en silence je tais mes soupirs, je sens ta présence dans mes souvenirs,l'été est torride morne et déprimant, la maison est vide et triste... Et pourtant la vie continue, alors il faudra que...

https://www.facebook.com

zzz-page-001

yyy-page-001

Pour information, j'ai recopié le texte dans son intégralité et ajouté à la suite mes poèmes volés :
J’aime cette Page · 15 mai 2015 · Modifié · 
Je souffre en silence je tais mes soupirs, je sens ta présence dans mes souvenirs,l'été est torride morne et déprimant, la maison est vide et triste…
Et pourtant la vie continue, alors il faudra que je m'habitue a vivre sans toi je pense à toi, quand je regarde l'horizon, a l'heure où le soleil disparaît sous la brume, laissant à l'infini le rêve ou l'amertume… 
Et par-delà le temps, par-delà les saisons, au moment où le jour se glisse dans la nuit, où la terre s'endort, où la brise s'envole, tandis que chaque fleur referme sa corolle, mon cœur oublie le monde et te cherche sans bruit,absence.
l'année s'est écoulée, me laissant bien seul, les jours ont défilé, si rapides si courts, pourtant la vie s'étire et l'espace se creuse nous séparant, hélas, un peu plus chaque jour. 
A l'encontre du temps, en retour, en arrière, je m'efforce d'aller, j'essaie de revenir, il me reste ce soir le triste départ pour empêcher l'oubli, pour mieux le contenir. 
Tu m'offres cependant la chance inespérée de te voir apparaître au milieu de mes nuits ; mais ta visite est brève alors, désemparée, je m'accroche en pleurant au rêve qui s'enfuit.
La vie qui m'entraîne m'éloigne de toi ; Je cache ma peine et mon désarroi aux joies de l'enfance je ne songe plus ; Je pleure l'absence le temps révolu… Et souvent je blâme tous ces souvenirs où seule mon âme se plaît à souffrir. 
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin, ce ne sera vraiment qu'un modeste bouquet, sur ta tombe en pleurant j'irai le déposer je cueillerai aussi la rosée du matin, la tristesse d'un jour qui s'éloigne sans toi, un souvenir lointain qui revient et s'en va… 
Je cueillerai aussi la rosée du matin,je cueillerai enfin les larmes de mes yeux, j'en ferai un collier de perles de chagrin, et je te l'offrirai dans son plus bel écrin… 
Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux,au-delà des soupirs je n'ai pu t'adresser un regard, un sourire, tu es partie trop vite et sans me prévenir… 
Immense est mon regret. Je voudrais te le dire Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs. ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence sans cesse je remue de précieux souvenirs. 
Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance au-delà du chagrin, au-delà des soupirs mes plus tendres pensées vont vers toi dès l'aurore, je t'appelle et te parle avant de m'endormir, et bien étrangement ta voix me berce encore au-delà du chagrin, au-delà des soupirs....

Copyright . Antoine Chiappetta
Tous droits réservés. © 2015

Deuil

Je souffre en silence
Je tais mes soupirs,
Je sens ta présence
Dans mes souvenirs. 

L'été est torride
Morne et déprimant,
La maison est vide
Et triste…Et pourtant

La vie continue,
Alors il faudra
Que je m'habitue
À vivre sans toi.

 

 

Je pense à toi

Je pense à toi, quand je regarde l'horizon,
À l'heure où le soleil disparaît sous la brume,
Laissant à l'infini le rêve ou l'amertume…
Et par-delà le temps, par-delà les saisons,

Au moment où le jour se glisse dans la nuit,
Où la terre s'endort, où la brise s'envole,
Tandis que chaque fleur referme sa corolle,
Mon cœur oublie le monde et te cherche sans bruit.

 

Absence

L'année s'est écoulée, me laissant bien songeuse,
Les mois ont défilé, si rapides si courts,
Pourtant la vie s'étire et l'espace se creuse
Nous séparant, hélas, un peu plus chaque jour.

À l'encontre du temps, en retour, en arrière,
Je m'efforce d'aller, j'essaie de revenir.
Il me reste ce soir le triste anniversaire
Pour empêcher l'oubli, pour mieux le contenir.

Tu m'offres cependant la chance inespérée
De te voir apparaître au milieu de mes nuits ;
Mais ta visite est brève alors, désemparée,
Je m'accroche en pleurant au rêve qui s'enfuit.

 

Chagrin

La vie qui m'entraîne
M'éloigne de toi ;
Je cache ma peine
Et mon désarroi.

Aux joies de l'enfance
Je ne songe plus ;
Je pleure l'absence
Le temps révolu…

Et souvent je blâme
Tous ces souvenirs
Où seule mon âme
Se plaît à souffrir.

 

Je cueillerai pour toi

Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin,
Ce ne sera vraiment qu'un modeste bouquet,
Sur ta tombe en pleurant j'irai le déposer…
Je cueillerai pour toi les fleurs de mon jardin.

Je cueillerai aussi la rosée du matin,
La tristesse d'un jour qui s'éloigne sans toi,
Un souvenir lointain qui revient et s'en va…
Je cueillerai aussi la rosée du matin.

Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux,
J'en ferai un collier de perles de chagrin,
Et je te l'offrirai dans son plus bel écrin…
Je cueillerai enfin les larmes de mes yeux.

 

Au-delà des soupirs

Je n'ai pu t'adresser un regard, un sourire,
Tu es partie trop vite et sans me prévenir…
Immense est mon regret. Je voudrais te le dire
Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs.

Ta mort hante ma vie. Pour combler ton absence
Sans cesse je remue de précieux souvenirs.
Je trouve un réconfort en trompant ma souffrance
Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs.

Mes plus tendres pensées vont vers toi dès l'aurore,
Je t'appelle et te parle avant de m'endormir,
Et bien étrangement ta voix me berce encore
Au-delà du chagrin, au-delà des soupirs.

Ces poèmes extraits du recueil "Des poèmes pour rêver" d'Isabelle CALLIS-SABOT

Editeur : Mon Petit Editeur 

publié en 2013

Des poèmes pour rêver (1)