Quiétude
Sous la voûte céleste où dorment les étoiles
La mer berce l'azur et les nuages blancs ;
La brume s'épaissit, le vent gonfle les voiles
Aux confins de la houle et du clair firmament.
On entend seulement des flots le long murmure
À travers les couleurs nébuleuses du soir.
— Voici l'obscurité qui calme, qui rassure
Et dissipe le jour en ramenant l'espoir.
Isabelle CALLIS-SABOT
Pour écouter ce poème, lu par l'auteur :
http://www.isabelle-callis-sabot.net/archives/2014/04/25/29737639.html
Des poèmes pour rêver :
http://www.isabelle-callis-sabot.net/archives/2014/03/20/29482287.html